Theodore ¤ Nott

« C’est quand l’homme pleure que je ris, et c’est quand il meurt que je vis ! »

LE SEUL QU'IL AIT JAMAIS CRAINT..

ÂGE. 16 ans. DATE DE NAISSANCE. Le 31 Octobre 1957. LIEU DE NAISSANCE. à Londres. SANG. Mêlé. STATUT. Célibataire. EMPLOI. Etudiant de Poudlard. ALLÉGEANCE. à Lord Voldemort. BAGUETTE. Bois exotique et crins de licorne, 31 cm. PATRONUS. Un gros serpent. ÉPOUVANTARD. Un Basilik. DON. aucun. PARTICULARITÉ(S). Très bon illusioniste.AVATAR. Eddie Redmayne.

INVENTIF, FACETIEUX, INSOUCIANT, EXCESSIF, CATEGORIQUE, FATALISTE.

LE DÉFAUT DU PLAN..

Que je vous raconte une anecdote ? Eh bien, mes jours et mes nuits en sont remplies. Je ne me dépense que pour faire en sorte que chaque instant de ma vie soit mémorable, et digne d’être raconté. En somme, je pourrais faire l’apologie de moi-même, en narrant quelques un de mes exploits, mais comme il est vrai pour tout un chacun, que je suis indéniablement génial, je m’en vais vous narrer le pire d’entre eux. Ce jour n’est pas prêt de quitter ma mémoire, et pour cause. C’était il y a environ deux an et demi, alors que je vaquais à mes occupations encore novices : distribuer des bonbon-gerbe, dissimuler des boules puantes dans les capuches, subtiliser les livres sous le nez de tout le monde… Un sixième-année de Serdaigle m’interpella au beau milieu d’un couloir vide alors que je m’apprêtais à emprunter un passage secret. Son visage affichait une moue inquisitrice qui se voulait menaçante. Bien conscient qu’il n’était certainement pas là pour tailler le bout de gras, je le toisai avant de lui adresser des salutations parfaitement hypocrites.

« Arrête ! Pas de babillage avec moi, je suis ici pour mon frère ! lança-t-il avec une voix faussement chevaleresque. »

Le danger était proche et se rapprochait encore, cela ne pouvait que me motiver. Il arriva enfin à ma hauteur et se planta juste devant moi, faisant ainsi valoir les deux pieds qu’il mesurait de plus que moi. Je le scrutai de tête en pied, puis en jetant un vif coup d’œil derrière lui :

« Ton frère ? Où est-il ? Je ne le vois pas ! »

La provocation avait bien plus d’impact que je ne l’espérais, ce jeune homme devait déjà beaucoup m’en vouloir à l’origine. Et cela se confirma sous peu, lorsqu’il aborda brièvement comment son frère avait été ligoté à demi-nu dans la volière en pleine nuit, jusqu’à ce que l’un de ces camarades le découvre au petit matin. Je me remémorai cet épisode que j’avais totalement occulté, pensant que le jeune Serdaigle ne m’avait pas reconnu. Visiblement, ma réputation me précède. Soudain, mon interlocuteur sortit sa baguette, jetant un regard bref à chaque extrémité du couloir. Il entama un pas lent, me repoussant à chaque avancée à l’aide de son torse. Il éleva sa baguette, prêt à jeter un sort, mais deux professeurs qui traversèrent le couloir d’un coup de vent, le firent dissimuler sa baguette dans sa robe. A ce moment, la tentation fut trop grande. Profitant du contact de nos corps et de son attention détournée, je subtilisai habilement sa baguette, pour la remplacer par la mienne. Lorsque les distractions furent parties, il reprit là où il en était. C’est alors qu’il se rendit compte de la substitution, et croyez-moi, sa grimace en valait le détour. Mais, lorsqu’il leva les yeux vers moi, ce n’était plus de la colère qui brillait en eux, c’était dès lors de la fureur et de la rage. Il brandit ma baguette, certainement conscient des dégâts qu’il pouvait occasionner. Lorsqu’il entama son incantation, toute envie de rire m’avait quitté, seul l’instinct de survie me restait. Sans réfléchir, je lançai le premier sort qui me vint à l’esprit.

« Crache-limace ! »

Ensuite, je me souviens de la lumière, beaucoup de lumière. Mon corps devint léger, puis très lourd. Lorsque je revins à moi, je me trouvais à l’infirmerie, en nage dans mes draps. L’air était lourd, les palpitations de mes veines temporales résonnaient dans ma tête. Les couvertures, trop lourdes, trop chaudes, surchauffaient mon corps déjà brûlant ; Pourtant, chaque goutte de sueur qui perlait, de mon front où de ma nuque, devenait l’origine d’un frisson intense qui me glaçait les os. L’infirmière s’approcha de moi, certainement pour me faire boire une de ces mixtures immondes qui n’avait guère plus d’efficacité qu’une infusion de rognures d’ongles dans du jus de citrouille. Elle se pencha sur moi, l’obscurité ne me permettait pas de discerner les traits de son visage, et après m’avoir toisé pendant quelques secondes, elle colla ses doigts d’une extrême froideur au creux de mon cou pour y trouver mon pouls. Ce contact pétrifiant ne manqua pas de me faire sursauter, et la sensation qui s’en suivit, bien qu’indicible, était insoutenable. Aussi je me débattis dans mes draps, avec toute la vigueur qu’il m’était possible de fournir, pour attraper le seau. Un avant-goût infâme me fit saliver comme le clébard galeux du gardien, puis une poussée douloureuse et répugnante, provenant du fin fond de mes entrailles nouées, me fit ouvrir grand la bouche. Deux affreuses et énormes limaces jaillirent, puis une troisième, et encore une autre. Ce cérémonial dura quelques bonnes minutes qui parurent interminables, et l’infirmière qui avait enfin compris tenta de dissimuler un léger sourire pincé. J’étais trop occupé à reconstituer la faune des parasites de Poudlard, pour faire quoi que ce soit, mais il était clair que notre chère infirmière allait avoir une petite surprise dans peu de temps. Lorsque ce fut fini, je me maudis de m’être cru supérieur à un élève plus âgé, mais surtout plus studieux que moi. Même si, il faut l’avouer, j’étais le plus ingénieux. C’est d’aussi loin que je me souvienne, le seul fiasco que j’ai eu à essuyé.

L'HOMME AUX DEUX VISAGES..

Pseudo/prénom. Clark/Clément Âge. Exponentielle du nombre de poils au fesses de Severus Rogue en 1955. Vous arrivez de la gare de :-rie ! ALCOOL. 0.2 grammes de sang dans l’alcool. Commentaire (sympathique). Panda. Commentaire (moins sympathique). Chauve-souris. Manière dont vous souhaitez être traité(e). avec du produit anti-puce…*se gratte*. Acceptez-vous d'avoir des relations sexuelles avec Peeves pour cinquante points en faveur de Poufsouffle ? Non, je ne prends que des smarties. Une dernière volonté. Une dernière question ?.

©MAISONDESJEUXDUSORT.1FR1.NET

Alors, j'ignore si tu as fini ou non, mais si c'est le cas, pourrais-tu étayer ton anecdote ? Histoire qu'on en sache un peu plus sur ton personnage, comment l'incident est survenu par exemple.
Le style est tout à fait convenable en tout cas.

Je te laisse aussi mettre un avatar 200x320 dans ton profil.

Bon courage.

vous êtes validé(e) !

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Le staff sera ravi de vous voir entamer le RP dans les meilleurs délais, sans hésiter à ouvrir un Journal du Sorcier afin de faciliter vos recherches. Le staff se tient à votre entière disposition pour toute question, demande et pour votre intégration au forum (dans la limite des stocks de patience disponibles).

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Bienvenue, et félicitations pour ta validation.

Bien que j'aie apprécié la lecture de ta fiche, je me permets une petite mention en tant que créateur du PV de Nott, si tu veux : je l'imagine dans un esprit plus bon enfant, du temps de Poudlard, à se complaire dans de nombreuses facéties mais en appréciant surtout les petits tours sans conséquence, et surtout une très grande discrétion lors de ses méfaits (à ne pas trop souhaiter affronter ses adversaires de face). Bien sûr, ça n'enlève rien à ta validation, c'est un simple ajout pour tes RP et j'espère que tu prendras plaisir à l'incarner.
Bon jeu.