Alice Londubat

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LE SEUL QU'IL AIT JAMAIS CRAINT..

ÂGE. 21 ans DATE DE NAISSANCE. 26 mai 1952 LIEU DE NAISSANCE. Londres, Angleterre. SANG. pur, bien que ce soit la dernière chose dont elle se vante STATUT. mariée à Frank Londubat EMPLOI. Auror ALLÉGEANCE. au monde magique, à Dumbledore, et donc à l'Ordre du Phénix BAGUETTE. 27,5 cm, bois de cèdre, plume de Phénix, particulièrement rapide et idéal pour les sortilèges informulés PATRONUS. un loup ÉPOUVANTARD. La maison où Frank et elle vivent, avec la Marque des Ténèbres planant au dessus. DON. aucun. PARTICULARITÉ(S). aucune. AVATAR. Rooney Mara.

BIENVEILLANTE, HARDIE, HUMBLE, COMBATIVE, LOQUACE, EXIGEANTE.

LE DÉFAUT DU PLAN..

« Tu aurais pu me soutenir, là dedans... »

Le reproche planait dans les mots de Frank, dans le regard qu'il lui lançait ou même, dans la distance qu'il gardait entre eux deux alors qu'il s'adressait à elle. Toutefois, il en fallait bien plus à Alice pour baisser les armes et, plutôt que de s'en vouloir de n'avoir, une fois de plus, pas rejoint l'avis de son mari, elle fronça les sourcils, croisa les bras contre sa poitrine pour lui répliquer :

« Et pourquoi ça ? Maugrey avait parfaitement raison. Ils ne s'attendront pas à ce qu'on attaque là-bas et l'effet de surprise jouera en notre faveur.
- Peut-être, mais les risques sont beaucoup trop grands. L'endroit va grouiller de Moldus. Qu'est-ce qu'il se passera si tout ne se déroule pas aussi bien que vous l'imaginez, Maugrey et toi ? S'ils sont pris pour cibles ?
- C'est un risque à prendre. Mais...
- Un risque à prendre ? Par Merlin, tu t'entends parler ? »

Cette fois-ci, l'expression qu'elle lisait dans les yeux de Frank dépassait le reproche. C'était cette même noirceur, qu'elle ne savait pas vraiment mettre sur le compte de la déception ou d'une sorte de dégoût, qui animait ses traits à chaque fois qu'ils avaient des discussions de ce genre. Et, ces derniers temps, il y en avait bien trop : à propos de leur métier, de leur futur et surtout, surtout, de ces enfants qu'il voulait tant avoir et élever avec elle. L'incompréhension entre eux grandissait et parfois, elle avait l'impression que chacun des décisions qu'elle prenait, que chaque mot qu'elle prononçait ne faisait qu'agrandir le fossé entre eux. Parfois, encore, elle avait le douloureux sentiment que son mari faisait beaucoup plus de concessions qu'elle mais que cela ne saurait être éternel. Et cette pensée la paralysait, la rendant tout à fait incapable de faire quoique ce soit pour remédier à la situation. Mais, dans ce couloir du Ministère, elle se souciait bien peu de heurter la sensibilité de Frank. Il l'avait bien cherché, à sous-entendre ainsi qu'elle dépassait les limites de l'acceptable. C'est pourquoi elle lança, piquée au vif :

« Quoi ? C'est le moment où tu me fais comprendre que je ne suis plus celle que tu as épousée, c'est ça ? Le monde a changé, Frank, et tu devrais t'adapter. »

Son ton était cinglant et elle entendait bien couper court à cette discussion déplaisante. Ne vous méprenez pas, Alice aimait sincèrement son mari. Seulement, il y avait des sujets où ils étaient diamétralement opposés. La façon dont ils voyaient leur métier, le monde qui les entourait et l'avenir du monde magique en faisaient partie. Et, par les temps qui couraient, ils revenaient régulièrement sur le tapis. Mais, aujourd'hui, il n'y avait pas à discuter : Maugrey dirigeait les opérations et elle adhérait à son point de vue. En plus, Frank avait suffisamment fait part de son mécontentement quand l'Auror leur avait présenté le plan qu'il envisageait de suivre. Bref, l'affaire était réglée et leur lieu de travail n'était vraiment pas l'endroit idéal pour étaler leurs problèmes. Elle conclut donc cet échange par un :

« Tu devrais te préparer, on part dans trois-quarts d'heure. »

Bien entendu, ses mots avaient sonné bien plus sèchement que ce qu'elle aurait voulu. Mais même la magie ne permettait pas de les ravaler pour retenter sa chance et apaiser les choses. Alors, faute de pouvoir faire quoique ce soit d'autre, elle partit pour, justement, se préparer elle aussi.


Une heure plus tard, Maugrey, Frank et elle étaient, comme prévus, en planque dans le pub. D'après leur source, les criminels qu'ils devaient arrêter se rendaient ici deux fois par mois pour « se réunir ». Il y avait certainement plus discret comme endroit, surtout si on lançait quelques sorts pour protéger le lieu, mais ceux-ci ne semblaient pas avoir retenu grand chose de leurs cours de Sortilèges et se contentaient le plus souvent de manier leur baguette pour causer de dégâts. Alors, pour leur cas, un bar Moldu n'était pas une si mauvaise planque - encore fallait-il savoir choisir à peu près correctement ses vêtements histoire de ne pas être dévisagé par toutes les personnes présentes. Comme convenu, le groupe s'était séparé : Alice était assise avec Maugrey près de l'entrée, Frank, un peu plus loin dans la salle. Avec sa tasse de thé face à elle, la Londubat faisait un peu tache mais ce n'était pas cela qui la préoccupait le plus. Puisque leurs ennemis du jour se faisaient attendre, le sorcier à sa table crut bon de creuser sur ce sujet :

« Un problème, Londubat ? »

En guise de réponse, la jeune femme grimaça légèrement avant de répondre prudemment :

« C'est juste que... Je pense que Frank n'avait pas tort. L'endroit grouille de monde et, même si tout se passe bien, on aura la Brigade des accidents de sorcellerie sur le dos. On a bien d'autres choses à faire que de remplir des tonnes de paperasse pour justifier notre action d'aujourd'hui. »

Comme chasser tous ces pseudos-sorciers qui faisaient régner la terreur au nom de ce sombre Lord Voldemort. Il le savait aussi bien qu'elle et Alice connaissait si bien l'Auror qu'elle savait exactement quels arguments allaient faire mouche. Avec espoir, elle le vit froncer les sourcils, comme s'il pesait le pour et le contre avant de s'intéresser de nouveau à elle. Il ouvrit la bouche mais aucun son n'en sortit pendant quelques secondes. Finalement, il lui répondit :

« Désolé de te décevoir mais il est trop tard pour faire marche arrière. »

Alice n'eut pas besoin de lever les yeux pour comprendre l'allusion. Les sorciers qu'ils devaient attraper venaient d'arriver, refermant le piège sur eux. Tout avait été savamment planifié par Maugrey et, tout en tournant distraitement une cuillère dans son thé, la sorcière se tenait prête à intervenir, sa main libre déjà sur sa baguette. Un signe de tête lui indiqua qu'il fallait passer à l'action et elle fit volte-face en dégainant sa baguette, lançant un sort pour mettre KO celui qui était le plus proche d'elle. Frank et Maugrey avaient agi en même temps qu'elle, en assommant deux autres. Des cris paniqués répondirent aux éclairs et autres explosions sonores suscités par les sorts. Déjà, les Moldus se planquaient sous les tables, couraient dans tous les sens, certains vers la sortie. Et, pourtant, il leur restait deux adversaires à mettre hors de combat. D'un nouveau geste de sa baguette, Alice verrouilla la porte principale - la dernière chose dont ils avaient besoin c'était que la police s'invite sur les lieux. Pendant ce temps, les deux criminels restants avaient récupéré leur baguette et s'étaient précipité derrière le comptoir : adieu l'effet de surprise. Un sort la frôla, l'obligeant à se baisser. Elle contrattaqua aussitôt, manquant sa cible. Pendant un peu moins d'une minute, les attaques fusèrent d'un côté comme de l'autre, se fracassant contre les meubles, les murs, les fenêtres et paralysant peut-être un Moldu ou deux. Heureusement pour eux, ils n'avaient pas affaire avec des salauds de la pire espèce qui attaquaient à coups mortels. Finalement, les Aurors réussirent à éliminer les deux criminels restants sans trop de difficulté. Et le calme revint. Maugrey fut le premier à se relever pour aller récupérer les sorciers assommés et leur signifier qu'ils étaient en état d'arrestation. Il crut bon d'annoncer gaiement à Alice :

« Tu vois, ça s'est pas si mal passé ? »

Si on enlevait le bar saccagé, la dizaine de Moldus paniqués à qui il faudrait effacer la mémoire et remontrances qui les attendraient certainement à leur retour, oui, on pouvait dire que l'opération s'était bien déroulée. Vraiment, il n'y avait pas de quoi être fier et c'est un poil gênée que Alice tourna la tête vers son mari, pour s'assurer qu'il allait bien. Fort heureusement, il ne semblait pas d'humeur rancunière. Ou alors, il avait réussi à laisser aller toute sa frustration sur leurs adversaires du jour. Disons que le pourquoi du comment importait peu, ce qui comptait, c'était qu'il semblait sain et sauf. Elle s'approcha donc de lui pour s'assurer qu'il allait bien et remarqua alors une entaille sur son front. Son sang ne fit alors qu'un tour et elle oublia tout ce qui avait pu se passer avant pour lui lancer :

« Laisse-moi m'occuper de ça. »

Vu les dangers de son métier, il fallait bien qu'elle ait quelques connaissances basiques en matière de soins. La blessure n'était pas très profonde ni trop compliquée à soigner alors elle se permit de lancer un sort pour cicatriser la coupure. Une fois ceci fait, elle lui adressa un léger sourire. Le moment était certainement venu de s'excuser ou de lui laisser entendre qu'elle avait eu tort de ne pas l'écouter. Seulement, c'était le genre de phrase que sa fierté mal placée lui donnait quelques difficultés à prononcer. Surtout que, sur le papier, cette mission était une totale réussite : ils avaient arrêté tous les suspects qui seraient jugés et envoyés très certainement à Azkaban. Mais fanfaronner devant son mari était la dernière chose à faire puisqu'à coup sûr, il ne voyait que les erreurs qu'ils avaient commises. Incapable toutefois de savoir comment formuler les excuses qu'elle aurait aimé lui servir, Alice se contenta donc de lui sourire à nouveau avant de s'approcher un peu plus pour déposer un baiser sur ses lèvres. Une manière comme une autre de lui signifier son amour, le respect qu'il lui inspirait ou même, plus étrange, le fait qu'elle aurait détesté qu'il renonce à ses idéaux, contrairement à ce qu'elle affirmait sans cesse. Une fois ceci fait, elle s'écarta - ils étaient, après tout, encore au travail - et lança :

« Bon... Il ne reste plus qu'à réparer les dégâts. »

Autant dire, le plus gros du travail. Ce n'était pas ce soir qu'ils rentreraient tôt chez eux.

L'HOMME AUX DEUX VISAGES..

Pseudo/prénom. JANE◊SMITH Âge. 23 Vous arrivez de la gare de : par un partenariat, je crois bien. Ouais, je sais déjà plus, se référer à la question suivante ? SANG. Chez moi il fait froid, il faut bien se tenir chaud. Ça répond à votre question ? Commentaire (sympathique). Les personnages sont tous plus intéressants les uns que les autres, j'ai eu du mal à choisir Commentaire (moins sympathique). Manière dont vous souhaitez être traité(e). Le plus grassement possible. Acceptez-vous d'avoir des relations sexuelles avec Peeves pour cinquante points en faveur de Poufsouffle ? Malheureusement, je ne suis plus à Poudlard Une dernière volonté. Eh bah je finis de remplir ça après parce que je dois filer. DOMMAGE

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Bienvenue et merci pour ton inscription !
J'en connais un qui va être content... (pas autant que moi maintenant que mes deux futures victimes sont là mouahah) J'ai hâte de voir ce que tu vas faire de cette chère Alice. N'hésite pas si tu as des questions. On te prépare un test rp dans la soirée.

test rp

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Le bureau des Aurors a été appelé afin de débusquer un petit groupe de criminels notoires ; assez civilisés pour être appréhendés mais cependant trop dangereux pour les remettre entre les mains d'aucun autre. Ceux-là ont leur place toute désignée à Azkaban, du moins si Alastor Maugrey, flanqué du couple Londubat, parvient à leur mettre la main dessus. Et c'est bien son intention, qu'importe les moyens - même extrêmes - qu'il faudra mettre pour y parvenir. Un avis que Frank, lui, ne partage pas...
Il te faudra raconter comment Alice choisit d'aborder cette tâche, préférant la combativité de Maugrey ou la prudence de Frank, préférant s'accomplir comme auror ou rester fidèle, loyale, à son époux. Il te faudra également raconter, de la façon de ton choix, l'issue de cette affaire, bonne ou mauvaise, fuite, arrestation voire la mort.

Afin de te répondre :
- Il n'y a pas d'indication sur la famille d'Alice et, cependant, Neville sera un sang-pur. Donc Alice en est forcément une et, par là, tu peux choisir parmi les noms de cette annexe ou en inventer un à ta guise (en sachant que tu seras la seule représentante de cette branche, de fait, et afin de respecter le listing original).
- Bien sûr, tu le peux. Justement. Je pense que Frank voudra bien te prêter son personnage le temps d'une fiche.

vous êtes validé(e) !

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La Maison des Jeux du Sort est heureuse de vous ouvrir ses portes. Le métier et l'avatar de votre sorcier seront automatiquement répertoriés par nos soins.
Vous avez le plaisir d'appartenir à :

l'ordre du phoenix.

Le staff sera ravi de vous voir entamer le RP dans les meilleurs délais, sans hésiter à ouvrir un Journal du Sorcier afin de faciliter vos recherches. Le staff se tient à votre entière disposition pour toute question, demande et pour votre intégration au forum (dans la limite des stocks de patience disponibles).

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Officiellement bienvenue, petite Alice !
Tu viens jouer avec moi ? J'ai tout plein de méchants sorts qui vont fort t'amuser, ahahahah.